Un éditeur de l'American Journal of Economics and Sociology (AJES) a été licencié après la publication d'un numéro spécial explorant des perspectives diverses sur le changement climatique. Ce numéro incluait un article remettant en question les conclusions alarmistes sur le réchauffement.
Points Clés
- Un éditeur a perdu son poste après la publication d'un article sur le climat.
- L'article remettait en question l'aspect « alarmant » du changement climatique.
- Le document est devenu l'un des plus populaires de l'histoire de la revue.
- Des experts dénoncent la censure dans le domaine de la science climatique.
La controverse autour du numéro spécial
L'année dernière, l'AJES a publié une édition spéciale. Son objectif était de présenter différentes visions scientifiques sur le changement climatique. Le Dr Marty Rowland, l'éditeur de ce numéro, a autorisé la publication de l'article intitulé « Le dioxyde de carbone et le réchauffement climatique ne sont pas des problèmes ».
Cet article, écrit par Marcel Crok et Andy May, reconnaissait que le climat change. C'est une observation que chacun peut faire. Cependant, les auteurs contestaient, pour des raisons scientifiques, que ce changement soit intrinsèquement alarmant ou dangereux pour l'avenir de la planète.
Fait Marquant
L'article de Crok et May se classe parmi les 0,1 % des publications les plus suivies par l'éditeur et est le deuxième article le plus populaire de l'histoire de la revue.
Réactions et accusations de censure
La publication de cet article a suscité une vive réaction. Toute remise en question du consensus sur la crise climatique d'origine humaine est souvent accueillie avec une forte opposition. Les chercheurs derrière l'article affirment avoir répondu à toutes les objections, ce qui explique pourquoi le document n'a pas été rétracté.
Malgré cela, la publication de cet article a directement conduit au licenciement de l'éditeur, le Dr Rowland. Cet événement met en lumière les tensions existantes dans le débat scientifique sur le climat. Il pose des questions sur la liberté d'expression académique.
« La réponse standard de la communauté scientifique climatique dominante à ces documents qui contestent le récit selon lequel le CO2 est dangereux est de demander immédiatement une rétractation. C'est une stratégie, car cela donne le signal que le document est vraiment mauvais et la plupart des gens n'ont pas le temps et les connaissances pour évaluer la situation. »
Science, biais et enjeux financiers
Beaucoup perçoivent la science comme une discipline neutre, uniquement basée sur les données. Cependant, cette vision est parfois simplifiée. Chaque scientifique possède une vision du monde et des biais. Les preuves doivent être interprétées, et la sélection des données peut influencer les résultats.
Lorsque des enjeux émotionnels, politiques et financiers importants sont en jeu, comme c'est le cas pour le changement climatique, la situation se complique. Des milliards de dollars sont en jeu. Cette situation peut entraîner une forme de censure dans certains domaines scientifiques, où les opinions divergentes peinent à émerger, même si elles s'appuient sur des données d'observation.
Contexte
Le débat sur le changement climatique est souvent polarisé. Certains estiment que la science est "établie" et que toute contestation est une forme de déni. D'autres appellent à un examen plus ouvert de toutes les hypothèses et données, y compris celles qui ne s'alignent pas sur le consensus dominant.
La liberté d'enquête académique
Un expert en politique environnementale, Burnett, a été contacté concernant le licenciement de l'éditeur. Il a affirmé que le domaine de la recherche climatique est fortement censuré et peu ouvert à la discussion. Selon Burnett, les universitaires sont fréquemment ostracisés ou licenciés pour avoir osé soulever des questions légitimes sur les causes et les conséquences du changement climatique, ainsi que sur les politiques proposées.
On nous exhorte souvent à « suivre la science ». Cependant, des incidents de censure comme celui-ci soulignent les limites de cette approche. Le mantra « suivre la science » peut parfois être interprété comme une élévation de la sagesse humaine, supposant une infaillibilité collective en cas de « consensus ».
- La science est un processus d'enquête continue.
- Les biais humains peuvent influencer l'interprétation des données.
- La liberté académique est essentielle pour le progrès scientifique.
Impact sur la recherche future
Ce type d'incident peut avoir un effet dissuasif sur les chercheurs qui pourraient envisager d'explorer des pistes de recherche non conventionnelles ou de publier des résultats qui contredisent les récits dominants. La peur des représailles professionnelles peut limiter la diversité des perspectives et des approches scientifiques.
La communauté scientifique doit trouver un équilibre entre la rigueur des faits et la nécessité d'un débat ouvert. C'est essentiel pour garantir que toutes les facettes d'un problème complexe comme le changement climatique soient pleinement explorées. La science progresse par la remise en question et la vérification constante des hypothèses.





